Collection
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Chambéry. Place et Monument du Centenaire
Chambéry. Place et Monument du Centenaire
Cette statue a été sculptée par Alexandre Falguière pour commémorer le centenaire de la réunion de la Savoie à la France en 1792. Elle a été inaugurée le 4 septembre 1892 en présence du président Sadi Carnot. Les Chambériens s’écrient alors : « Quelle Sasson ! », c’est-à-dire « quelle grosse femme » en patois savoyard… -
Chambéry. Place du Centenaire
Chambéry. Place du Centenaire
Sur la place du centenaire se trouve la statue dite "la Sasson". Elle a été sculptée par Alexandre Falguière pour commémorer le centenaire de la réunion de la Savoie à la France en 1792. Elle a été inaugurée le 4 septembre 1892 en présence du président Sadi Carnot. Les Chambériens s’écrient alors : « Quelle Sasson ! », c’est-à-dire « quelle grosse femme » en patois savoyard… -
536. Chambéry. Le Pont du Reclus
536. Chambéry. Le Pont du Reclus
Cette statue a été sculptée par Alexandre Falguière pour commémorer le centenaire de la réunion de la Savoie à la France en 1792. Elle a été inaugurée le 4 septembre 1892 en présence du président Sadi Carnot. Les Chambériens s’écrient alors : « Quelle Sasson ! », c’est-à-dire « quelle grosse femme » en patois savoyard… -
Chambéry. Place du Centenaire et Pont du Reclus
Chambéry. Place du Centenaire et Pont du Reclus
Cette statue a été sculptée par Alexandre Falguière pour commémorer le centenaire de la réunion de la Savoie à la France en 1792. Elle a été inaugurée le 4 septembre 1892 en présence du président Sadi Carnot. Les Chambériens s’écrient alors : « Quelle Sasson ! », c’est-à-dire « quelle grosse femme » en patois savoyard… -
Buisson-rond, propriété de M.r le comte de Boigne, près Chambéry
- Auteur
- Robert-Philisdor, Calixte, Isidore, François
- C.M.
Buisson-rond, propriété de M.r le comte de Boigne, près Chambéry
Cette petite image de Buisson-Rond est rare et intrigante. Le dessinateur pourrait se trouver sur l’actuelle rue Sainte-Rose, face à la piscine et au château. Avant l’achat de cette gravure lors d’une vente aux enchères, la médiathèque conservait deux plans de Buisson-Rond achetés en 2011, mais aucune image. Elle intrigue par le nom énigmatique de ses auteurs. Des recherches ont permis de restituer l’identité du graveur : il s’agirait de Calixte, Isidore, François Robert-Philisdor, un graveur installé à Grenoble. Impossible en revanche d’identifier le dessinateur qui se cache derrière les initiales C.M. Peut-être est-ce Gustave Pierre Louis Aimé Margain (1826-1907) avec qui Robert-Philisdor a collaboré pour plusieurs œuvres. Le général-comte de Boigne avait acheté le domaine en 1802. Il remplace la maison par un château, luxueusement décoré pour y accueillir sa seconde femme Adèle d’Osmond. En 1810, il fait aménager un parc paysager pour embellir le domaine. Propriété privée, à l’écart de la ville, le parc de Buisson-Rond devient un lieu mondain à la fin du 19e siècle, lorsqu’Ernest de Boigne, petit-fils du général, en hérite en 1853. Ce dernier rénove la propriété pour lui donner son aspect actuel. En 1970, seront construite la piscine puis la patinoire, qui auront pour conséquence la démolition du portail d’entrée du château. Son achat par la ville de Chambéry en 1973 a permis son ouverture au public.- Auteur
- Robert-Philisdor, Calixte, Isidore, François
- C.M.
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Chamberi
Chamberi
Cette vue topographique de Chambéry reprend le même point de vue que plusieurs autres gravures du 17e siècle conservées dans nos collections. On reconnaît, à gauche, le château et à droite, le faubourg Montmélian. La ville, enserrée par ses fortifications et présentant un tissu urbain dense, est hérissée de clochers, aux proportions maladroites et le dessin, notamment celui du paysage est assez archaïsant. Toutefois, ces descriptions même approximatives sont précieuses pour les historiens. L’œuvre n’est pas signée, mais elle est sans doute due à Allain Maneson-Mallet (1630-1706). En effet, cet ingénieur et cartographe édite en 1683 une somme en 5 volumes, intitulée « Description de l'Univers, contenant les différents systèmes du monde » dont est extraite cette vue et pour laquelle il a lui-même dessiné la plupart des figures. L’ouvrage condense les connaissances géographiques de son siècle, parfois déjà obsolètes, mais son intérêt principal réside dans la richesse de son iconographie. Il sera d’ailleurs rapidement réédité et la vue présentée est extraite d’une édition allemande parue en 1719. -
Chamberi
Chamberi
Cette vue topographique de Chambéry reprend le même point de vue que plusieurs autres gravures du 17e siècle conservées dans nos collections. On reconnaît, à gauche, le château et à droite, le faubourg Montmélian. La ville, enserrée par ses fortifications et présentant un tissu urbain dense, est hérissée de clochers, aux proportions maladroites et le dessin, notamment celui du paysage est assez archaïsant. Toutefois, ces descriptions même approximatives sont précieuses pour les historiens. L’œuvre n’est pas signée, mais elle est sans doute due à Allain Maneson-Mallet (1630-1706). En effet, cet ingénieur et cartographe édite en 1683 une somme en 5 volumes, intitulée « Description de l'Univers, contenant les différents systèmes du monde » dont est extraite cette vue et pour laquelle il a lui-même dessiné la plupart des figures. L’ouvrage condense les connaissances géographiques de son siècle, parfois déjà obsolètes, mais son intérêt principal réside dans la richesse de son iconographie. Il sera d’ailleurs rapidement réédité et la vue présentée est extraite d’une édition allemande parue en 1719.
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